19 mai 2010
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Chaque année, depuis des millénaires, inébranlablement, imperturbable, mon chatoyant et soyeux corps de naïade prenait une petite pause printanière le temps d’un week-end prolongé, pour s’engorger de sécrétions dégueu qui me filaient la goutte au nez et la sexytude d’un ours saoûl.
Cette année, non. Cette année, rien. Pas un reniflement, pas un miasme, rien du tout.
Pas même l’ombre d’un printemps.
Ceci expliquant peut-être cela.