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Et Si Je Créais Une Blogroll?

22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 15:00

Vers fin janvier de cette année, j'ai hérité tout une collection de thés et de tisanes (quelqu'un les avait récupérés pour moi chez ma grand-maman qui venait de mourir (en réalité c'est juste les boîtes qui les entouraient que je convoitais mais on m'a tout donné: j'ai tout pris (et puis c'était l'opportunité de tester de nouvelles choses)(c'était pas mal))), que j'ai progressivement bus et terminés au cours des mois suivants. Ce n'était pas une mince affaire: j'ai dû terminer la dernière goutte de Lapsang Souchong (je l'avais économisé) huit ou neuf mois plus tard seulement (je prends d'ailleurs ici l'espace d'une parenthèse pour te confier une petite astuce: les restes d'anis étoilé acheté pour fabriquer une (oh! l'ironie sublime) guirlande de Noël odorante à ta grand-maman enchantent avec efficacité ces litres de Lipton yellow à venir que des valeurs chrétiennes de décroissance t'auront empêché-e de balancer direct à la poubelle  (le Lipton yellow, c'est vraiment dégueulasse (ah si, je regrette))). 


Dans le lot, il y avait un paquet de rooibos de Noël, tout neuf, au gingembre, orange, clou de girofle et cannelle. C'est par lui que j'ai commencé mon marathon: je m'imaginais mal boire ça en été. Croyez-moi si vous voulez, mais à raison d'une tasse chaque matin, j'ai traversé la fin d'hiver bien réchauffée et presque réconfortée (c'était avant l'épisode du Lipton yellow par litres (je ne pouvais moralement pas commencer par celui-là (je veux dire: mon moral, enfin tu as compris))).


Du coup, premier dimanche de l'Avent moins dix jours, j'en ai racheté aujourd'hui cent grammes. Haterz gonna hate.

 


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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 12:30

J'ai encore participé à un swap!

 

 

 

 

 

Cette fois, le thème était "bio" et j'étais jumelée avec l'organisatrice du swap elle-même. Je te dis pas la pression.

 

Dans le paquet que j'ai préparé, j'ai essayé au maximum d'utiliser mes blanches mains (plus local ça n'existe pas, je crois) et des matériaux de récup'. Comme je ne voulais pas envoyer que des bricolages maison, j'ai complété avec des objets "allant dans le sens d'une consommation responsable", comme on dit (oui je sais que la consommation la plus responsable pour sauver la planète c'est encore de ne pas consommer, mais ne rien envoyer n'est pas précisément le principe du swap)(pour le reste, ce n'est pas un concours, oui je sais qu'il y a sûrement plus écolo, heureusement je suis une modérée et je le vis bien)(hihihi). Le compte-rendu d'Armalite est ici.

 

 

 

J'ai quant à moi reçu un magnifique paquet plein de bonnes choses. Jugez plutôt:

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Comment ça, "c'est tout petit, on voit rien, scandale!"?

 

 

 

 

Détaillons:

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"Aucun de mes colis de swap ne serait complet sans un peu de thé." <3

J'ai déjà goûté celui de droite, un thé vert pu-erh en galettes compressées réinfusables plusieurs fois. La forme "galette" est plus adaptée à une consommation en théière et vous n'avez que des tasses au bureau? Pas de problème, avec une paire de ciseaux et une cuillère à thé au grillage fin. [astuce]

Je me réjouis de goûter celui de gauche: je n'ai encore jamais bu de thé jaune.

 

 


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C'est bio, c'est belge, et c'est miam.

Dans la version au quinoa, on dirait que le grain a été légèrement grillé: c'est croquant, pas trop sucré, un vrai délice.

 

 

 

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Je cherche depuis des mois une crème pour les mains qui soit à la fois efficace et la plus légère possible en saloperies chimiques. Celle-ci me ravit!

 

 

 

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Oh!

J'ai appris l'existence de ce magazine en même temps que l'arrêt de sa publication papier (oh no!). Le même soir je le découvre dans mon paquet: et on se demande pourquoi je ne crois pas au hasard.

 

 

 

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Un roman dont la couverture ne dévoile pas vraiment l'intrigue. On ne peut pas dire que le titre soit plus transparent. Long story short, je vais m'empresser de terminer ma lecture en cours EDIT: je me suis empressée de terminer ma lecture en cours pour pouvoir m'y plonger.*

 

 

 

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Oh! et re-oh! Une carte postale moche et de goût douteux, tout à fait dans l'esprit de quelques unes qui traînent parfois dans ma boîte aux lettres! 

J'aime me servir de cartes postales comme marque-page. Devinez dans quel bouquin elle se niche déjà confortablement?

 

 

J'ai cette fois encore eu beaucoup de plaisir à préparer (et recevoir) mon colis de swap. Le côté "noël" avant l'heure me séduit complètement dans le concept, c'est l'occasion d'offrir un peu de soi (et de découvrir un peu quelqu'un d'autre) à quelqu'un qu'on ne connaît pas forcément. J'aime beaucoup cet enrichissement mutuel. Et puis surtout, j'ai vraiment été gâtée. De la lecture et de la bouffe, en même temps, avec moi, ça tombe rarement à côté. Bref.  

 

Un GRAND merci à Armalite pour avoir organisé ce swap, et un autre grand, TRES GRAND merci à elle pour ces merveilles qui me font regretter de ne pas être tombée pour de bon vraiment malade-à-la-maison cette semaine pour pouvoir les déguster plus rapidement. Heureusement, le week-end n'est plus loin.  

 

 

 

 

* Un peu de suivi sera EVIDEMMENT disponible sur mon compte GoodReads.

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 12:00

J'avais déjà participé à deux swaps cartes postales chez Armalite, mais j'avais très envie de participer à un échange littéraire. C'est maintenant chose faite!

 

Un soir de mai, j'ai envoyé un long e-mail à l'organisatrice, décrivant mes goûts, mes intérêts, ce que j'aime dans la vie, ce qui me plaît et ce que je préfère, pour l'aider à former une paire de participants dont je serais la moitié. Et on peut dire qu'elle a super bien bossé.

 

Non seulement ma swapée et moi partageons plein de goûts en commun (dont la lecture et l'ingestion chaude ou froide de boissons infusées), mais nous nous sommes en plus retrouvées pour de vrai dans un bar à bières super chouette de Lyon, où elle habite et où j'avais prévu de passer le week-end par hasard pile en plein dans la fenêtre prévue pour les échanges de paquets.

 

J'ai rencontré Lulamae pour de vrai et découvert la Lunik, une chouette bière ambrée brassée dans la Drôme. Et mon paquet, mon paquet!

 

 

 


 

D'après la consigne, ce paquet devait contenir:

  • un livre qui met de bonne humeur

PICT0654.JPG

      "Les fourmis n'aiment pas le flamenco, Auguste Derrière, 2011

(à droite: la première d'une collection de 6 cartes postales bonus: "Prok c'est net! Le savon intime des dames de la rue")

 

Ce que nous en dit la 4e de couverture: "Au début du XXe siècle, Auguste Derrière a sans aucun doute été le fleuron du non-sens et du jeu de mots laid. Il révolutionna l'art naissant de la publicité, puis devint la coqueluche de l'élite culturelle de l'époque, avant de tomber dans les sombres profondeurs d'un oubli auquel il est grand temps de mettre fin." Tout un programme!

 

 

  • une gourmandise
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Oh ben c'est déjà fini!

 

 

 

  • deux bricoles-surprise
PICT0650 PICT0652.JPG

 

    Ma swapée a flatté avec merveille mon amour des bains avec une fausse tranche de tarte au citron meringuée en savon et un délicieux cupcake moussant. Manque à l'inventaire une ballistic Lush, utilisée avant de faire les photos: oups!

 

 

  • une carte, évidemment

PICT0645.JPG


 

 

  • et un super chouette bonus: le thé des songes du Palais des Thés. Je l'ai bu chaud les deux premières semaines, avant de me rendre compte qu'il était encore meilleur en infusion à froid. Du coup, devinez qui a déjà bien entamé sa boîte?

 

 

 

 

Et ce que moi j'ai préparé? Oh, deux-trois bricoles à grignoter, deux-trois bricoles bricolées (dont une plutôt hideuse, mais une laideur qui fait rire: elle avait donc complètement sa place dans un carton "bonne humeur")(non, je n'ai pas de photo) et le très chouette "Estive" de Blaise Hofmann (Ed. Zoé, 2007), carnet de bord terriblement poétique d'un apprenti berger isolé pendant quatre mois durant sur l'Alpe vaudoise. Ma swapée en fera peut-être une critique sur son blog de littérature, stay tuned!

 

 

 

J'ai eu beaucoup de plaisir à préparer (et à échanger, et à profiter) de ce swap. Merci beaucoup à l'organisatrice et à Lulamae!

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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 10:00

Carotte. Pleurote. Echalote. Charlotte. Griotte. 

 

Houblon. Poivron. Chicon. Pâtisson. Cardon. Oignon. Champignon. Brugnon. Melon. Citron. Concombrichon. Dent-de-lion. Pignon.

 

Radis. Ortie. Morille. Khaki.

 

Pomme à cajou. Hibou. Chou. Genou. Caillou. Joujou. Pou. Bijou.

 

Cerise. Trévise. Anis. Maïs.

 

Cornichon. Cresson. Rampon. Potiron.

 

Ciboulette. Courgette. Noisette. Sariette. Doucette. Bette. Epine-vinette. Olivette. Roquette. Pastèque. 

 

Fraise. 

 

Basilic. 

 

 

 

 

 

 

#back2blog 10/10

 

Carotte 9/10

Houblon 8/10

Radis 7/10

Pomme à cajou 6/10

Cerise 5/10

Ciboulette 4/10
Cornichon 3/10
Fraise 2/10
Basilic 1/10

 

 

 


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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 10:00

Quand j'étais petite, j'avais tous les jours une tartine au cenovis pour la récré, que je gardais précieusement dans la poche extérieure de mon sac d'école. Comme il fallait garder jour après jour le sachet pour le réutiliser, cette poche se remplissait, se remplissait, se remplissait. Certains matins, elle était tellement pleine de vieux cornets qu'il ne fallait pas jeter que je ne trouvais presque pas ma tartine!

 

 

La légende familiale veut que ce n'est pas tant que j'aie adoré le cenovis à cette époque au point d'en réclamer tous les jours, mais que ma maman nous refilait simplement, à mon frère et à moi, chacun une des deux tartines préparées et oubliées par mon papa sur la commode à l'entrée en partant. Le bon vieux temps.

 

 

 

 

 

Mais peu importe, ce n'est pas la question. C'est quoi la question? "Et toi tu mangeais quoi en promenade d'école". Eh bien.

 

 

 

 

Eh bien figurez-vous qu'en course d'école, je mangeais rarement du cenovis. Pour les pic-nic, ma maman préférait les petits ballons mous de la Migros avec du Parfait. Et alors que tous mes copains avaient des joujou-chips (tu sais, ces petits paquets qui coûtent deux fois le prix des grands mais avec un JOUET dedans) et du coca, moi j'avais une gourde de sirop de framboise et. un. paquet. de. bâtonnets. de. carottes. 

 

 

 

 

 

True story.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

#back2blog 9/10

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 12:00

Ce matin-là, Jegor s'était levé avec les poules pour arriver au marché de Brive-la-Gaillarde à propos de bottes d'oignons de Lausanne avant la foule. Sa quête, il en était conscient, n'était pas la plus épaisse, mais pas la plus mince non plus. C'était une quête moyenne, en somme.

 

Moyenne, comme la sienne qui n'était pas terrible en ce matin de juillet. Parce qu'entre le café trop chaud, la deuxième chaussette assortie évidemment introuvable et les bus qui partent toujours trop vite, il était sérieusement en retard au rendez-vous de nos promesses stand Docteur Gab's où il avait rendez-vous avec quelques amis pour boire un coup et rentrer pété à 11h du matin retrouver bobonne pour le dîner découvrir la bière de saison et refaire le monde tout en ramenant quelques bouteilles qui feront le ravissement de madame.

 

Mais ce matin-là, hélas, le préposé au stand avait oublieusement laissé son lot de dégabsuleurs au dépôt. Rage! Désespoir! La malepeste soit de ces saloperies de caspules qui ne se dévissent même pas par la pensée pour permettre aux clients de passage de picoler à l'oeil déguster les dernières nouveautés par les beaux matins de juillet! se dit Jegor en lui-même. Et notre héros de se mettre en route pour trouver un instrument à même de faire levier pour l'accomplissement de sa quête.

 

 

 

Je vous donne la chute en mille (elle est dans le titre).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

#back2blog 8/10

 

 

 

 

 

 

 

Disclaimer: cette note n'est pas sponsorisée, ni commandée, ni même suggérée par la brasserie Docteur Gab's. C'est bien dommage mais c'est la vie. 

 

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30 juin 2013 7 30 /06 /juin /2013 17:00

Le radis, c'est super joli. Dans une salade, par exemple, ça apporte toujours un peu de peps, même si sa couleur est carrément improbable. Non mais parce que ce rose, là, quand même, ça ne peut pas être sérieux. Si? 

 

Dommage, clairement, vraiment, complètement, dommage que ça brûle autant la langue. Non mais franchement, quoi. 

 

Sinon, je n'ai absolument aucune anecdote à raconter à propos du radis. 

 

 

 

 

 

 

#back2blog 7/10

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29 juin 2013 6 29 /06 /juin /2013 08:00

Vers avril, mai, par-là, c'est le branle-bas de combat dans un petit quartier à la limite d'une certaine ville, quelque part là-bas en Afrique de l'Ouest. Parce qu'après la saison des mangues, c'est celle des pommes à cajou qui débute.

 

"Gni?", tu dis?

 

Ton manque de culture me rend triste, te réponds-je: les pommes à cajou c'est le fruit à l'origine des noix. Tout simplement.

 

Un nom étrange, d'ailleurs (je me demande comment on dit en dioula), parce que si par la couleur elles ressemblent effectivement vaguement à des Braeburns, c'est plutôt à une sorte de poivron d'arbre que la forme fait penser. Mais poivron à cajou c'était trop moche, il faut croire. Alors pomme, c'est. 

 


cajoux-1.jpg

On voit tout de suite que ce ne peut pas être un fruit sérieux, ce truc.

 

 

 

 

On les récolte tombées de l'arbre. Il faut y aller chaque jour, sinon on les retrouve gâtées ou déjà dans le ventre du bétail errant. On les mâchouille par petits morceaux du bout des dents en aspirant le plus de jus possible (c'est très élégant). Il ne faut surtout pas avaler la chair: un peu comme une vieille Boskopp, c'est amer et irritant (et un peu poilu juste sous la peau)(pis ça peut donner mal au ventre). Alors que le jus...

 

Sucré, mais pas trop. Ne ressemble à rien de connu. Les saveurs savent.

 

 

 

 

 

 

 

Et les noix, alors?


Elles sont dans une espèce de coque, au bout du fruit (ça lui fait un petit zizi ridicule), qu'il ne faut SURTOUT PAS emporter avec sa récolte sous peine de se retrouver les fesses pleines de plomb. Les cultivateurs n'aiment pas tellement qu'on leur pique leur gagne-pain (alors que les fruits, ils s'en foutent, va comprendre). 


Pour en extraire la noix, il faut [courir vite et] faire rôtir la coque. Je te dis pas le bordel que ça fait dans les cours du village. En avril, mai, par là

 

 


cajoux-2.png

Une fois que tu as extrait tes noix, tu peux encore les faire griller à sec à la poêle.

Incomparable pour enchanter tes salades d'été.

 

 

 

 

 

 

#back2blog 5/10

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 10:00

J'ai un rapport particulier aux cerises depuis toute petite. La preuve? Je suis née pile à l'heure de la récolte, pour n'avoir pas une minute à perdre avant de me rouler dedans. 

 

 

 

Il y avait dans le jardin de mes grands-parents des kilomètres carrés de pelouse et des hectomètres de rosiers, mais il n'y avait qu'un seul arbre fruitier. Quand venait l'été, on sortait l'échelle et on aidait de notre mieux les adultes qui grimpaient dessus pour cueillir les fruits. On finissait en général avec un joli maquillage noir bigarreau et un bon mal de ventre. 

 

Et puis on a grandi. Moi, pas tellement. C'était plutôt intérieur. Mais c'était tout comme. J'habitais plus loin, j'avais toujours des machins: je ne venais plus tellement au jardin. Et puis la saison des cerises c'est si court. 

 

L'arbre de son côté a vieilli. 

 

La dernière fois qu'il a fleuri, c'était il y a quatre ans. Cette année-là, je me rappelle, j'ai passé un après-midi entier à regarder ma grand-mère se pendre aux branches pour aider à la récolte. Le soir je suis rentrée chez moi avec des kilos de fruits, dont j'ai fait des litres de confiture. Il y avait du jus dans toute ma cuisine. Du jus noir, comme le sang d'un meurtre crapuleux. C'était rigolo (mais un peu pénible à nettoyer). 

 

Depuis, trois étés se sont succédé. L'arbre n'a plus jamais donné un fruit. Et cet hiver ma grand-mère à son tour s'en est allée. Elle aurait eu nonante-cinq ans aujourd'hui. 

 

 

 

 

#back2blog 5/10

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 10:00

La ciboulette, c'est super chouette. 

 

Déjà, quand tu la plantes une fois, elle repousse sans que tu n'aies rien à faire, au même endroit, l'année suivante. Pour peu que tu aies un grand jardin et un sol qui s'y prête, tu te retrouves quelques années plus tard avec une petite jungle de ciboulette sauvage qui t'arrive à mi-mollet. Ne rigole pas, c'était le cas chez mon parrain et marraine. Même que j'y ai passé des après-midis entiers à en faire des petites huttes pour mes playmobils. (recette ci-dessous)

 

Mais ce que je préfère dans la ciboulette, c'est encore ses fleurs. Ces gros pompons violets au bout de cette petite tige ridicule sont une vraie ode à l'autodérision, ne dis pas le contraire. Et puis c'est super joli dans une jardinière. Je ne dis même pas comment ça donne quand c'est en rangées au milieu d'un parc.

 

 

 

 

 

#back2blog 4/10

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BONUS!

recette des huttes pour playmobils en ciboulette super chouette

 

  1. Empoigner avec votre main préférée une grosse touffe de ciboulette
  2.  
  3. Dégager délicatement de quoi faire l'entrée de la hutte et couper à raz
  4. Nouer ce qui reste de la touffe avec un brin de ciboulette
  5. Dégager l'intérieur de la hutte
  6. Pour plus de confort, couper les brins de ciboulette dégagés aux points 2. et 4. en petits morceaux et les étaler sur le sol
  7. Installer vos playmobils
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